Aryana Libris - Tag - LapachoRecension d'ouvrages au format numérique PDF2024-03-27T00:19:02+00:00urn:md5:a0ee72454095f037bdb86f20b0b6b82bDotclearPerle Martin - L'Arbre de Vie Le Lapachourn:md5:691fb78f2754953a2709835bc2543a092011-11-30T18:23:00+00:002019-12-21T19:29:11+00:00balderPerle MartinCancerHerbalismLapachoMédecine <p><img src="https://aryanalibris.com/public/img/Martin_Perle_-_L_Arbre_de_Vie_Le_Lapacho.jpg" alt="" /><br />
Auteur : <strong>Perle Martin</strong><br />
Ouvrage : <strong>L'Arbre de Vie Le Lapacho</strong><br />
Année : 1987<br />
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Lien de téléchargement : <a href="https://aryanalibris.com/public/ebook/Perle_Martin_-_L_Arbre_de_Vie_Le_Lapacho.zip">Perle_Martin_-_L_Arbre_de_Vie_Le_Lapacho.zip</a><br />
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Ce livre se veut un livre d'espoir. Il faut lutter et chercher une issue jusqu'à la trouver. Elle existe presque toujours. POURQUOI A VOIR ÉCRIT CE LIVRE ? LA gravité du sujet traité dans ce livre est telle que nous avons mis plus d'un an à écrire la moindre ligne. On ne peut impunément mettre à la disposition d'un public plus ou moins averti, voire crédule, des informations qui se révéleraient inexactes et qui pourraient, pour certains, être vecteurs d'espoir tout à fait infondé. Il est possible qu'à la parution de notre propos, des journalistes se précipitent vers les lieux et adresses indiqués, pour vérifier l'exactitude de ce que nous avançons. Certains de ceux-ci font bien leur métier, d'autres n'ont de goût que pour la polémique ou la salissure gratuite, mais toujours leur opinion sera subjective. Voyez comment est écrite l'histoire, selon qu 'elle sera vue avec les yeux du coeur ou ceux de la raison. Chacun y trouvera « midi à sa porte ». Notre objectif est d'attirer l'attention de ceux qui pourraient s'intéresser au cancer mais, ce faisant, avec beaucoup de prudence. Nou vous proposons dans le présent document, avec le: plus extrêmes réserves et beaucoup de précautions, la découverte d'une voie nouvelle et « supplémentaire " à celles actuellement connues de prévention du cancer. Cette voie pourrait être considérée comme faisant partie de votre hygiène de vie, au même titre que tout ce que vous faites pour vous sentir bien dans votre peau. Si, en plus, elle vous apporte autre chose d'inespéré, eh bien tant mieux ! La première fois que nous avons lu le nom de " Lapacho ", produit anticancéreux, ce fut dans le journal d'un consultant financier et boursier. L'auteur de ce journal mensuel et confidentiel développe chaque mois divers sujets d'ordre économique : il aime traiter de la géo-politique afin d'essayer, par sujets interposés, d'expliquer les mécanismes et les lois non écrites qui président aux destinées de l'économie et de la finance internationales. Personne n'est maître ni de l'un ni de l'autre et on peut toujours gloser. Cela couvre des pages et ne fait de mal à personne. En ce qui nous concerne, notre consultant écrit bien, sa plume est alerte. Nous prenons plaisir à le lire. Dans son mensuel du mois d'août 1985, il écrivait qu'il « s'arrachait les cheveux » de n'avoir pas réagi plus tôt à une nouvelle qui eût dû, normalement, le faire bondir. Il avait manqué de flair et ne se le pardonnait pas. Il racontait avoir entendu parler d'une simple décoction, oui, d'une simple décoction aux propriétés curatives sur certains types de cancers. Ce produit s ·appelait le Lapacho et il allait être commercialisé sous cette appellation par une société américaine cotée en bourse en prévention du cancer. Notre boursier suivait cette société depuis longtemps et il préconisait l'achat de ces actions aux abonnés de sa Lettre confidentielle. Cet achat promettait des gains substantiels. Le consultant n'avait pas non plus établi de suite de relation, qu'il devina plus tard, entre le Lapacho et la société qui en avait fait la découverte. Cet homme comprit quelque temps après qu'il allait s'agir d'intérêts financiers absolument colossaux. Imaginez le bouleversement et les perspectives qui s'offraient à cette société ! Si une simple décoction avait la capacité de réduire les cancers, c'était littéralement une révolution. L'article de notre consultant, bien que dithyrambique, nous laissa incrédules, car nous étions habitués à ses conseils mais aussi à ses envolées lyriques. Il écrivait également que le Lapacho allait être commercialisé aux U.S.A. , au Canada et aussi dans le reste du monde. Colossal... Il ajoutait qu'un livre avait été écrit sur le Lapacho et sur les résultats obtenus sur des malades atteints du cancer, en Amérique et au Canada. Ce livre existe et a pour titre « Second opinion : Lapacho and the cancer controversy. " L'auteur est Bill Wead (Ed. Rostrum Communication lnc). Dans l'immédiat, nous n'avons pas trop réagi, ni prêté grande attention à cet article tant il paraissait excessif. Si un produit miracle existait vraiment, comment se faisait-il qu'il ne fût pas connu, et qu'avec les efforts déployés dans la recherche sur le cancer, il ne fît pas partie de la panoplie des remèdes. Nous n'étions ni au bout de nos peines ni de nos surprises lorsque nous avons fouillé le pourquoi de la dernière interrogation ci-avant nommée. Interrogation à laquelle nous vous apporterons quelques lumières dont vous serez seuls juges, mais dont l'aberration n'a d'égale que la réalité dissimulée. Nous avons relu l'article en question, mais de façon moins superficielle. L'auteur donnait des références, donc des choses vérifiables, mais qui ne nous invitaient pas pour autant à imaginer, écrire quoi que ce soit sur le Lapacho et le cancer. Notre décision d'écrire ce document fut prise après que, sur plusieurs de ses « lettres confidentielles » et au fil des mois, le consultant eut rédigé de nouveaux articles sur le Lapacho et ses bienfaits. Le sujet revenait souvent. La véracité de ce qu'il avançait nous parut alors suffisamment établie pour que nous osions faire le commentaire de notre ouvrage. Si notre consultant avait affabulé, c'en eût été fait de son crédit. Nous avons donc commandé au Canada le livre très bien charpenté de Bill Wead. Le document mit neuf mois pour nous parvenir en France et, sans doute, ne sommes-nous pas plus d'une dizaine de personnes à avoir réussi à nous le procurer si nous en jugeons par sa lenteur à nous parvenir. Notre consultant citait en outre un journal brésilien, le « 0 Cruzeiro », qui, le 18 mars 1967, avait consacré un article à la « une » sur le produit en question et sur les médecins qui, dans les villes de Piracicaba et Americana, au Brésil, traitaient des cancéreux avec le Lapacho et, semblait-il, avec un certain succès, sinon avec un succès certain. Pour nous, la décision de livrer ces informations était alors prise. Nous n'ignorons pas les conséquences de toute sorte que pourrait éventuellement provoquer ce livre. Mais nous vivons dans un pays où, grâce au ciel, la liberté, et notamment la liberté d'expression, est le droit essentiel. Aussi, avons-nous décidé, après mûre réflexion, de publier celui-ci dans un simple but d' information. Chacun de nos lecteurs saura tirer pour lui ce qui lui convient, car, après tout, notre société est suffisamment adulte pour effectuer ses choix. Nous ne possédons pas encore de témoignages en France, issus de personnes qui aient consommé ce Lapacho, mais notre prochaine édition aura, sans doute, supprimé la présente réserve. <strong>...</strong></p>Jurasunas Serge - Le lapacho et le cancer L'arbre miraculeux des Incasurn:md5:a12d2ad34ce255044c2443be347e3bdc2011-11-30T16:24:00+00:002019-12-21T19:07:05+00:00balderJurasunas SergeCancerHerbalismLapachoMédecine <p><img src="https://aryanalibris.com/public/img/Jurasunas_Serge_-_Le_lapacho_et_le_cancer_L_arbre_miraculeux_des_Incas.jpg" alt="" /><br />
Auteur : <strong>Jurasunas Serge</strong><br />
Ouvrage : <strong>Le lapacho et le cancer L'arbre miraculeux des Incas un livre qui donne l'espoir</strong><br />
Année : 1988<br />
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Lien de téléchargement : <a href="https://aryanalibris.com/public/ebook/Jurasunas_Serge_-_Le_lapacho_et_le_cancer_L_arbre_miraculeux_des_Incas.zip">Jurasunas_Serge_-_Le_lapacho_et_le_cancer_L_arbre_miraculeux_des_Incas.zip</a><br />
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Introduction. Tout au long de ma carrière professionnelle j'ai eu souvent l'occasion d'observer les vertus médicinales des plantes et surtout d'en étudier les secrets avec des spécialistes ou des peuplades anciennes. Depuis une dizaine d'années j'ai passé en revue un grand nombre de plantes susceptibles de posséder des propriétés anticancéreuses et avec plusieurs d'entre elles j'ai mis au point des produits, dont une méthode tout à fait particulière qui est un bain accompagné d'un cataplasme. Je peux donc affirmer que je crois aux vertus curatives des plantes mais surtout, pour ce qui m'intéresse, c'est-à-dire le cancer, un domaine tabou. Ma bibliothèque personnelle compte un choix immense d'ouvrages modernes et anciens sur les plantes dont le fameux livre du célèbre botaniste anglais Nicolas Culpefer publié au XVIIe siècle. Mon intérêt pour la médecine par les plantes chez les Indiens remonte à plus d'un quart de siècle, période où j'observais les tribus indiennes de l'Amérique du Nord. J 'ai d'ailleurs pu me procurer des ouvrages anciens publiés sur ce sujet, et, plus proches, des ouvrages hautement qualifiés publiés aux U.S.A. sur les plantes utilisables contre le cancer. La phaunacopée des plantes en Allemagne m'a également beaucoup renseigné, car très en avance sur plusieurs pays. Mon intérêt pour les plantes et le cancer m'a amené à voyager dans de nombreux pays et à présenter des conférences dans trois continents. De ces pays j'ai ramené des spécimens qui sont destinés à soigner le cancer. Il y a encore beaucoup de travail devant moi poure arriver à des conclusions positives. Cependant je vais alors poser la question suivante: "Peut-on faire confiance aux plantes?" et encore une question plus délicate "Y -a-t-il des plantes capables de guérir le cancer". S'il y a maladie, forcément il doit y avoir des remèdes de la nature pour la guérir. U semble que l'homme est né avec la santé et la maladie mais qu'il existe dans la nature les substances pour qu'il se soigne. Celui qui est croyant pourrait dire que la Pharmacie du Bon Dieu existe. Dans cet ouvrage je vais citer les controverses et incohérences de notre science. La Science coexiste très mal avec la nature, le cosmos et ce qui nous entoure. Elle a du mal à admettre que la terre recèle des substances médicinales naturelles capables de nous guérir. Pour la simple raison qu'elle veut être, elle, l'unique créatrice de nos remèdes. Malgré tout, la recherche scientifique française a lancé récemment ses chercheurs sur la piste des sorciers quérisseurs d'Afrique afin de découvrir de nouveaux remèdes anticancéreux, car, dit-on, certains de leurs remèdes empiriques donnent des résultats étonnants contre le Cancer. Alors, à ma question, je vais répondre par oui, car certaines plantes peuvent guérir le cancer pourvu que l'on veuille bien l'accepter, comprendre cette maladie et la plante dans sa totalité. On ne peut pas isoler juste un maillon et proclamer que cet alcalofde, seul, est anti-cancéreux. Une des plantes les plus extraordinaire que je connaisse, voire même la plus extraordinaire parmi celles que j'utilise et avec laquelle j'observe des résultats frappants depuis 20 ans, c'est le fameux Lapacho, la plante ancienne des Incas. Notre Institut, avec son équipe, a pu élaborer au cours des dernières années des dossiers illustrant les vertus empiriques du lapacho sur de nombreuses maladies. Il convient de rester dans les limites du possible et du vrai mais de ne pas négliger les possibilités qu'offre cette plante pour la médecine de demain. S'il existe une seule plante contre le cancer c'est certainement le lapacho. Si les plantes et la chimiothérapie c'est peut-être un bon mariage, comme le pensent déjà les spécialistes français anxieux de mieux connaître les plantes chinoises, je leur suggère fortement de s'intéresser au lapacho. Celui qui a été en Chine, à Hong-Kong ou Macao a eu peut-être l'occasion de visiter ces pharmacies traditionnelles qui vendent les plantes, même contre le cancer. Il n'y a pas lieu d'entourer une plante d'un carcan scientifique dès qu'on lui attribue des vertus, pour la rendre quasiment inaccessible au public. La maladie coQ te si cher à l'état qu'il devrait libéraliser les plantes ce qui, entre nous, pourrait soulager les hôpitaux bondés de malades. Je sais par avance que ce livre va intéresser certains et que d'autres vont critiquer le contenu. Ce qui compte avant tout c'est l'aide que l'on peut apporter au malade, même avec une substance empirique et cela ne relève en aucun cas de l'inconscience. Savoir observer est une qualité qui manque beaucoup chez les spécialistes défonnés par une recherche à outrance. Je ne vais pas attendre pour savoir si une vingtaine de rats vont mourir avec une décoction de lapacho pour suggérer une tasse à un malade. C'est là ce qui sépare l'empirique du scientifique mais souvent l'instinct a tranché la question et le malade a été soigné. Ce qui ne veut pas dire que nous devons laisser de côté la recherche et ne pas tester les plantes, bien au contraire. Le regretté Dr. Fenandiz de Barcelone, un grand iridologue de notre époque et à la fois un grand médecin, utilisait depuis des diz~ines d'années les plantes en poudre dans sa célèbre clinique de Barcelone. Doit-on dire qu'il était inconscient quand il utilisait des plantes pour le traitement du cancer. Le Dr. Vogel de Suisse est peut-être le plus grand phytothérapeute de notre époque, son travail est immense, et, grâce à lui d'ailleurs j'ai appris à connaître certaines plantes contre le cancer. Il est certain que dans la médecine, l'avenir converge de plus en plus vers les plantes c'est à nous de prendre le train en marche. Fait à Lisbonne le 26 septembre 1988 SERGE JURASUNAS. <strong>...</strong></p>